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Boucliers humains : Amnesty International accuse Kiev de crimes de guerre
Un article de www.blogdelazare.com
Massacre des civils ukrainiens avec la complicité de Macron
Boucliers humains : Amnesty International accuse Kiev de crimes de guerre.
Dans une excellente vidéo, Florian Philippot nous livre deux informations accablantes pour Zelensky :
- Une enquête d’Amnesty International confirme ce que les Russes dénoncent depuis des mois : l’armée ukrainienne utilise bien les civils comme boucliers humains.
- Une biographie de Zelensky, à paraître, démasque le « Churchill ukrainien » et ses turpitudes. Information traitée par la presse autrichienne et allemande, mais bien évidement, totalement mise sous le tapis par les médias français, dont on connaît l’éthique à géométrie variable.
Voilà des mois que l’Occident encense le valeureux chef de guerre ukrainien et son armée, modèle de courage et de professionnalisme, face aux barbares de l’armée russe, coupables de tous les crimes.
Il est vrai que pour ce qui est de duper l’Occident, l’acteur est dans son élément. C’est son métier et les naïfs tombés dans le panneau se comptent par centaines de millions. Chaque pays de l’Otan a eu droit à un petit couplet historique sur ses tragédies passées, pour mieux solliciter armes et compassion face à l’ogre russe. Zelensky a même osé comparer le sort des Ukrainiens à la Shoah ! C’est dire combien il est capable de tout.
C’est un criminel de guerre qui a ensorcelé l’Occident
Mais la roue tourne et les sanglots du saltimbanque de Kiev ne font plus recette, ses mensonges se faisant jour au fil du temps. De nombreux pays commencent à se détacher de la cause ukrainienne.
Voilà des mois que les Russes dénoncent l’utilisation des civils comme boucliers humains par l’armée ukrainienne, et voilà des mois que Zelensky fait porter le chapeau à Poutine, dès qu’il y a des victimes collatérales. Mais jamais ces crimes ukrainiens, pourtant largement dénoncés par les réseaux de ré-information, n’ont été évoqués en Occident. Cela s’appelle de la complicité.
Le rapport d’Amnesty International du 4 août 2022 est accablant :
- « Des bases militaires sont installées dans des zones résidentielles, notamment dans des écoles et des hôpitaux »
- « Des attaques sont lancées depuis des secteurs habités par des civils »
Il est évident que pour Moscou, les éléments armés retranchés dans un immeuble civil deviennent de facto une cible militaire, avec les risques de victimes et dégâts collatéraux, que Kiev met systématiquement sur le dos des soldats russes.
Cette tactique criminelle utilisée par l’armée ukrainienne vise deux objectifs
- diaboliser un peu plus Poutine en l’accusant de crimes de guerre
- retarder l’avancée des troupes russes, freinées par une guerre urbaine qu’il faut mener au milieu des civils
Mais ces tactiques de combat sont une violation des lois de la guerre. L’ONG précise :
« Lors de toutes ces investigations, nos chercheurs ont trouvé des éléments prouvant que les forces ukrainiennes ont lancé des attaques depuis des zones résidentielles peuplées et qu’elles se sont aussi basées dans des bâtiments civils dans 19 villes et villages de ces régions. Le Laboratoire de preuves du programme Réaction aux crises d’Amnesty International a analysé des images satellites afin de vérifier les informations recueillies sur le terrain. »
« La plupart des zones résidentielles où les soldats s’étaient installés se trouvaient à des kilomètres de la ligne de front. Ils auraient pourtant eu la possibilité de s’installer dans d’autres lieux qui n’auraient pas mis en danger la population civile, comme des bases militaires ou des zones densément boisées des environs, ou d’autres structures encore situées loin des zones résidentielles. »
Il y a donc bien violation délibérée du droit international humanitaire ! Les témoignages de civils ukrainiens mis en danger par les tirs de représailles russes sont accablants pour les soldats de Zelensky.
Le pire étant d’utiliser des hôpitaux à des fins militaires, ce qui est un crime de guerre. Et si les écoles sont fermées, elles se situent néanmoins en zone urbaine habitée. « Dans 22 des 29 écoles qu’ils ont visitées, nos chercheurs ont constaté que des soldats utilisaient ces bâtiments ».
« Dans une ville à l’est d’Odessa, les soldats ukrainiens avaient très largement pour habitude d’utiliser des espaces civils ».
« Le 29 juillet 2022, nous avons contacté le ministère de la Défense ukrainien en lui indiquant les conclusions de nos recherches. Au moment de la publication, nous n’avons reçu aucune réponse ».
Bien entendu, le martyr Zelensky a dénoncé l’enquête d’Amnesty International, la jugeant injuste car elle renverse les responsabilités entre le pays victime et l’agresseur. Une odieuse propagande prorusse.
Et le chef de la diplomatie ukrainienne s’est dit « indigné » par les accusations de l’ONG.
“Nous maintenons pleinement nos conclusions”, a cependant déclaré la secrétaire générale d’Amnesty International, soulignant l’extrême rigueur du travail accompli par ses équipes.
Dans un tel contexte, il est donc impossible pour les soldats russes d’éviter les victimes collatérales.
Mais pour Amnesty International, l’utilisation de boucliers humains par l’armée ukrainienne ne justifie pas pour autant les tirs de représailles de l’armée russe.
Soit, mais c’est oublier que la plupart des tirs longue portée effectués par les Ukrainiens avec des canons Caesar et des lance-roquettes multiples HIMARS sont dirigés sciemment sur des cibles civiles. Ce qui est également un crime de guerre.
https://reseauinternational.net/un-triple-crime-de-guerre-ukrainien/
Un triple crime de guerre ukrainien
C’est bien Kiev qui viole en permanence les lois de la guerre, mais toutes les plaintes de Moscou auprès de l’ONU sont restées sans réponse.
Qui est le véritable « boucher » de ce conflit ? C’est bien l’armée ukrainienne qui cumule les crimes de guerre depuis 2014, mais profite du soutien inique des médias occidentaux pour propager ses fake news et camoufler ses exactions.
Mais l’odieux parti pris de l’Occident qui couvre cette barbarie n’aura qu’un temps. Le « héros » n’est qu’un mystificateur.
En effet, les minages de zones résidentielles par bombardement à sous munitions constituent trois violations d’accords internationaux et sont qualifiées de « crime de guerre » :
- Bombardement intentionnel d’une population civile (Convention de Genève, 1949),
- Utilisation de mines antipersonnel (Convention d’Ottawa 1997),
- Utilisation d’armes à sous-munitions (Convention d’Oslo, 2007).
« Depuis fin juillet, plus de 8 000 mines « Tulip » ont été dispersées par l’artillerie ukrainienne sur les quartiers résidentiels civils entre Donetsk et Yasinovataya ».
« 80 % des bombardements ukrainiens qui frappent des quartiers résidentiels où il n’y a que des populations et ressources civiles peuvent donc, sans l’ombre d’un doute, être qualifiés de terroristes et, au vu de la nature et du leur volume des munitions tirées, d’intention génocidaire ».
Dans ces conditions, il est illusoire d’espérer la paix avec un pouvoir ukrainien qui ne respecte aucune loi de la guerre et ne sait que culpabiliser la Russie pour mieux s’exonérer de ses propres crimes.
Mais tout cela finira par se savoir, comme tous les crimes perpétrés par les néo-nazis dans le Donbass depuis huit ans.
L’odieuse complicité des médias occidentaux, qui couvrent ces atrocités par leur silence, n’empêchera pas la défaite de l’Ukraine et l’éclatement de la vérité aux yeux du monde.
Jacques Guillemain
« Bill Gates : trafic d'enfants et pédophilie en famille...L'Europe chie sur la démocratie (et vous chie dessus au passage) »
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